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Appoggiature à la guitare :
En tout premier lieu, les Appoggiatures sont des notes de passage, très courtes. Lorsqu’on les joue, on entend artificiellement qu’une seule note, la 2ème étant la plus importante. Les appoggiatures sont des notes ornementales qui se résolvent sur une note principale, généralement par un mouvement par étapes. En effet sont généralement jouées, à la guitare, en Hammer guitare ou en Slide guitare. En gros, elles n’ont pas vraiment de valeur rythmique. De plus, elles sont des points de départ pour la note principale, ce qui produit un effet sonore.
À la guitare, il existe deux types d’appoggiatures courantes : les appoggiatures en slide et les appoggiatures en hammer.
Les appoggiatures en slide se produisent lorsque le guitariste glisse rapidement vers une note depuis une note inférieure ou supérieure. Par exemple, si la mélodie comporte une note La et que le guitariste souhaite ajouter une appoggiature en slide, il peut jouer rapidement la note Si (une note supérieure) avant de glisser rapidement jusqu’à La. Cela crée un effet de glissement doux et harmonieux entre les deux notes.
Les appoggiatures en hammer, quant à elles, se produisent lorsque le guitariste joue rapidement une note en appuyant fermement sur la corde avec un doigt de la main gauche et en laissant ensuite tomber rapidement un autre doigt sur la même corde, créant ainsi une deuxième note. Par exemple, si la mélodie comporte une note La et que le guitariste souhaite ajouter une appoggiature en hammer, il peut jouer rapidement la note Si en appuyant fermement sur la corde avec le doigt de la main gauche et en laissant rapidement tomber un autre doigt sur la même corde pour créer la note La.
À la Renaissance et au début du baroque, l’appoggiature était d’une longueur modérée, représentant en moyenne un tiers de la note principale, et était davantage un ornement mélodique qu’harmonique. À l’époque de Bach les appoggiatures se divisaient en deux espèces : la courte, qui emprunte une longueur négligeable à sa note principale et qui a donc peu d’effet sur l’harmonieLa longue, prend la moitié ou plus de la longueur de sa note principale et qui affecte donc substantiellement l’harmonie, créant une dissonance qui se résout ensuite, sur la note principale, en une consonance. Parce que son but était principalement expressif, que ce soit en termes purement mélodiques ou harmoniques, l’appoggiature typique de la musique des XVIIe et XVIIIe siècles se produisait sur le temps, plutôt qu’avant, “penchant” sur la note principale, comme le suggère la dérivation du terme.
Il y a de nombreux guitaristes emblématiques qui utilisent beaucoup les appoggiatures dans leur musique. Voici quelques exemples :
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En tout premier lieu, les Appoggiatures sont des notes de passage, très courtes. Lorsqu’on les joue, on entend artificiellement qu’une seule note, la 2ème étant la plus importante. Les appoggiatures sont des notes ornementales qui se résolvent sur une note principale, généralement par un mouvement par étapes. En effet sont généralement jouées, à la guitare, en Hammer guitare ou en Slide guitare. En gros, elles n’ont pas vraiment de valeur rythmique. De plus, elles sont des points de départ pour la note principale, ce qui produit un effet sonore.
À la guitare, il existe deux types d’appoggiatures courantes : les appoggiatures en slide et les appoggiatures en hammer.
Les appoggiatures en slide se produisent lorsque le guitariste glisse rapidement vers une note depuis une note inférieure ou supérieure. Par exemple, si la mélodie comporte une note La et que le guitariste souhaite ajouter une appoggiature en slide, il peut jouer rapidement la note Si (une note supérieure) avant de glisser rapidement jusqu’à La. Cela crée un effet de glissement doux et harmonieux entre les deux notes.
Les appoggiatures en hammer, quant à elles, se produisent lorsque le guitariste joue rapidement une note en appuyant fermement sur la corde avec un doigt de la main gauche et en laissant ensuite tomber rapidement un autre doigt sur la même corde, créant ainsi une deuxième note. Par exemple, si la mélodie comporte une note La et que le guitariste souhaite ajouter une appoggiature en hammer, il peut jouer rapidement la note Si en appuyant fermement sur la corde avec le doigt de la main gauche et en laissant rapidement tomber un autre doigt sur la même corde pour créer la note La.
À la Renaissance et au début du baroque, l’appoggiature était d’une longueur modérée, représentant en moyenne un tiers de la note principale, et était davantage un ornement mélodique qu’harmonique. À l’époque de Bach les appoggiatures se divisaient en deux espèces : la courte, qui emprunte une longueur négligeable à sa note principale et qui a donc peu d’effet sur l’harmonieLa longue, prend la moitié ou plus de la longueur de sa note principale et qui affecte donc substantiellement l’harmonie, créant une dissonance qui se résout ensuite, sur la note principale, en une consonance. Parce que son but était principalement expressif, que ce soit en termes purement mélodiques ou harmoniques, l’appoggiature typique de la musique des XVIIe et XVIIIe siècles se produisait sur le temps, plutôt qu’avant, “penchant” sur la note principale, comme le suggère la dérivation du terme.
Il y a de nombreux guitaristes emblématiques qui utilisent beaucoup les appoggiatures dans leur musique. Voici quelques exemples :
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